Vous aimez l’imaginaire ? Votre quotidien vous semble atrocement banal ? Vous souhaitez plonger dans une épopée fantastique, et vivre une aventure pleine de rebondissements, digne de vos romans préférés ? N’hésitez plus et faites comme Sherlock alias Parcy : invoquez Amélius Melgan, le plus mystérieux des marchands d’épopées. S’il répond à votre appel, il vous proposera diverses destinations extraordinaires, dans la 5ème dimension. Faites alors votre choix, et devenez le héros de vos rêves les plus fous ! A vos risques et périls, bien sûr…
Genre : fantastique
Edition : Scrinéo
Date de sortie : 30 janvier 2020
Nombre de pages : 256
Prix : 14,90€
Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre en commençant ma lecture de ce roman, j’étais malgré tout assez intriguée. Au final, j’ai plutôt aimé cette histoire, je l’ai même trouvée trop courte, ce qui est plutôt une bonne chose, non ?
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Dans ce roman, on suit l’histoire de Sherlock, issu d’une famille assez triste je trouve, qui refuse tout ce qui touche au fantastique, dans toutes ses formes. Le jeune garçon accepte donc évidemment de rejoindre une aventure épique lorsqu’on lui propose et à partir de là, sa vie va complètement changer, tout comme la dynamique de l’histoire.
J’ai franchement apprécié ce roman, pour la parenthèse légère qu’il propose, il est assez feel-good, se lit rapidement. Ajouté à cela l’écriture très fluide et agréable, c’est même devenu addictif au fil des pages. Bien sur j’avais peur que le côté trop jeunesse du roman n’altère mon avis, mais je trouve qu’avec la plume maîtrisée, l’imaginaire et l’action omniprésente, on a pas vraiment le temps de se faire la réflexion sur le côté jeunesse. On peut facilement s’attacher aux personnages, ils sont assez peu nombreux, atypiques et je les ai globalement tous appréciés.
Avec ce roman j’ai passé un agréable moment, j’ai aimé la fin ouverte, la légèreté et cette bonne dose d’aventures. C’est un roman que je peux conseiller facilement pour tous publics et qui peut plaire aisément.
NOTE : 8/10
A très vite,
Gaelle
Elleag et ses chroniques 